Les périodes électorales sont toujours propices aux promesses d’un proche avenir glorieux et d’investissements qui vont faire du Québec l’envie du reste du monde. Ces discours optimistes épousent le plus souvent la dernière mode et les plus récentes expressions branchées. Yves Gingras, dans cette lettre d’opinion, offre un regard lucide sur la politique scientifique québécoise, autant du point de vue de ses échecs que de ses voies d’avenir.
Ce contenu a été mis à jour le 6 août 2018 à 9 h 42 min.